Pieter Vanhoutte est un jeune professionnel au parcours inhabituel. Il y a un an et trois mois, il a radicalement changé de carrière. Vétérinaire fraîchement diplômé, il a finalement décidé de poursuivre sa passion pour... le monde de la banque. Beobank n’a pas hésité à l’embaucher l’intégrer dans un parcours Young Talent. Comment cela se passe ? Nous avons posé la question à Pieter.
Table des matières :
- Pourquoi ce tournant dans ta carrière ?
- Pourquoi avoir choisi Beobank ?
- À quoi ressemble un stage de Young Talent ?
- Question cliché d’entretien d’embauche : où te vois-tu dans 5 ans ?
- Pourquoi conseillerais-tu à d’autres de postuler chez Beobank ?
- Est-ce qu’il y a des moments de plaisir parmi tout ce travail ?
De la médecine vétérinaire à la finance : c’est un véritable grand écart. Pourquoi avoir pris ce virage dans ta carrière ?
Pieter : « Pendant mes études, j’étais surtout intéressé par le traitement des chats, mais bien sûr, le métier de vétérinaire est beaucoup plus vaste. Les études en elles-mêmes m’intéressaient, mais quand j’ai obtenu mon diplôme, j’ai choisi une autre orientation professionnelle, qui me semblait plus large.
Plonger dans le monde bancaire, c’est un rêve d’enfant. C’est un secteur très vaste, qui évolue rapidement grâce à la révolution digitale, l’IA, la question du maintien des agences… Comme les banques recrutent beaucoup, j’ai décidé de tenter ma chance. »
Pourquoi avoir choisi Beobank ?
Pieter : « Tout d’abord, parce que Beobank m’a choisi. Beaucoup de banques ont déchanté en voyant mon diplôme. Deux banques étaient intéressées : une grande banque et Beobank. À vrai dire, je ne connaissais pas vraiment Beobank, mais j’étais curieux. Je voulais savoir comment fonctionne une banque. Deux semaines après ma candidature, j’ai pu démarrer en tant que Young Talent dans l’agence de Menen. »
« Le cliché du travail de banquier ennuyeux a la vie dure.
Pourtant, il est très éloigné de la vérité. »
« J’y ai été bien accueilli et je me suis tout de suite entendu avec mes collègues. La glace a donc vite été brisée. Le cliché du travail de banquier ennuyeux a la vie dure. Pourtant, il est très éloigné de la vérité. Tant dans les agences qu’au siège, il règne une ambiance collégiale, où l’humour a vraiment sa place. »
Quatuor Building – SA M. & J.M. Jaspers et J. Eyers & Partners, architectes / architecten
À quoi ressemble un stage de Young Talent ?
Pieter : « Les 6 premiers mois, on travaille dans différentes agences de Beobank. C’est une première introduction au travail bancaire. Au guichet, on informe les clients, on fixe des rendez-vous, on les aide à utiliser l’application… Pendant cette période, Beobank propose de nombreuses formations sur les différents produits, la conformité, les processus… »
« Depuis le mois de mai, je travaille au département sales, au siège social. Je collabore au développement commercial des investissements et je soutiens les experts en premium banking. Chaque jour est différent. Je les aide à répondre à des questions, m’enquiers de leurs besoins et cherche de nouveaux clients par le biais de collaborations avec d’autres départements, de parrainages, de promotions… En outre, je travaille sur des partenariats, des événements internes, le développement de produits ou encore des collaborations avec des compagnies d’assurance. »
« Bien sûr, je peux télétravailler de temps en temps.
La confiance et la liberté sont au rendez-vous. »
« J’apprends énormément au contact de mes collègues : c’est une équipe très diversifiée, avec des personnes de tous âges et aux expériences variées. J’apprécie particulièrement de pouvoir travailler au siège social : un bâtiment flambant neuf dans le Quartier Nord de Bruxelles. Avec des espaces flexibles, une salle de fitness, un parc… Bien sûr, je peux télétravailler de temps en temps. La confiance et la liberté sont au rendez-vous. »
« Après ma période au département sales, je passerai 6 mois au département marketing. Mon rôle y sera d’aider à lancer des campagnes de marketing pour promouvoir les solutions d’investissement de Beobank et attirer de nouveaux investisseurs. »
« Dans une troisième phase de mon stage, je me concentrerai sur les produits financiers. Que proposons-nous, quels fonds sélectionnons-nous, quels sont les besoins de nos clients… La base de notre activité, en quelque sorte. Après le stage, on peut véritablement entrer dans l’entreprise, dès qu’on voit un poste vacant qui nous convient. »
Question cliché d’entretien d’embauche : où te vois-tu dans 5 ans ?
Pieter : « Je veux d’abord approfondir mes connaissances en économie et dans les marchés financiers et me spécialiser en fonction des besoins. D’ici cinq ans, j’espère avoir un poste à responsabilité, avec un impact concret. De préférence au sein d’une équipe de projet. Chez Beobank, les possibilités de carrière sont nombreuses. Il y a un réel suivi de l’évolution des collaborateurs. »
« Tu es flexible et tu as envie d’apprendre ?
Tu en seras récompensé. »
« Tu es flexible et tu as envie d’apprendre ? Tu en seras récompensé. Personnellement, j’ai l’impression d’avoir du retard à rattraper, vu mon bagage de médecine vétérinaire. Mais un stage permet d’aller plus vite et plus loin. »
Pourquoi conseillerais-tu à d’autres de postuler chez Beobank ?
Pieter : « Beobank est un challenger : une banque dynamique avec une structure horizontale. Il y règne une atmosphère familiale. Tout le monde se connaît, y compris le CEO. Ici, on t’appelle par ton prénom. Ce sont des petites choses qui favorisent la convivialité. En tant que débutant, il est facile de se constituer un réseau ici. »
« On bénéficie également d’un bon coaching. Dans mon travail actuel, c’est mon patron et mentor, Sylvain, qui s’en charge : une personne très expérimentée. J’apprends beaucoup, mais j’ai aussi la liberté de prendre des initiatives et d’indiquer ce qui m’intéresse. Ensemble, nous examinons mes objectifs annuels et la manière dont je peux les atteindre : dans mon travail, mais aussi au sein de l’équipe. »
« La baseline de Beobank est : ‘Bien vous entourer’.
Cela vaut non seulement pour les clients, mais aussi pour les employés. »
Est-ce qu’il y a des moments de plaisir parmi tout ce travail ?
« Ils ne manquent pas. Il y a de la place pour le plaisir pendant nos heures de travail, et des initiatives sont organisées de temps à autre. Il y a une fête annuelle du personnel, par exemple, ou encore un roadshow triennal pour les sales, suivi d’une réception. A l’occasion des 10 ans de Beobank, il y a eu plusieurs concours. 30 d’entre nous ont gagné une initiation au padel, au tennis et au hockey et nous sommes allés visiter le Palais du Koudenberg. De temps en temps, nous dînons aussi avec des collègues après une réunion. Non, vraiment, on peut allier travail et plaisir sans problème chez Beobank… »
Le tuyau de Pieter pour postuler :
Quand tu postules chez Beobank, ton diplôme n’est pas le seul aspect qui compte. Ce qu’on va évaluer, c’est ta motivation, ton intelligence, tes compétences linguistiques, tes soft skills… et la première impression que tu donnes. En adoptant la bonne attitude, tu mettras déjà toutes les chances de ton côté. Alors n’hésite pas. Cela vaut toujours la peine de tenter ta chance. |
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